La fraude des fruits de mer est souvent motivée par des gains économiques, même si certains cas de fausse représentation pourraient être causés par l’erreur humaine. Des espèces peu dispendieuses ou facilement accessibles sont vendues sous le nom d’espèces de plus grande valeur, désirables ou rares. Ainsi, lorsque vous payez le gros prix pour un bar commun, vous pourriez avoir en fait un poisson-chat, à la valeur beaucoup moins élevée. Et ceci n’est qu’un seul exemple !
Dans 74 pour cent des cas d’étiquetage trompeur (124 échantillons sur 168) identifiés par Oceana Canada, l’espèce apparaissant au menu ou sur l’étiquette du produit vendu avait une valeur plus élevée que l’identité réelle du poisson. Ces substitutions bon marché font baisser le prix des poissons capturés de façon responsable, trompent les consommateurs et nuisent aux pêcheurs honnêtes et aux entreprises de pêche qui respectent les règles.